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VALENCIENNES - LE 11 AOUT 1999

L'UL CGT avait sollicité une entrevue auprès de la Sous-préfecture de Valenciennes. Cette rencontre a eu lieu le mardi 10 août 1999 à 9 h 00 avec le Secrétaire général de l'institution. Les dirigeants de l'UL on fait part de leurs vives inquiétudes quant au fonctionnement de l'Inspection du Travail. En effet, cette administration souffre d'un manque cruel d'effectif en inspecteurs. Jusqu'en juillet 2000, il n'y aura quasiment que 2 inspecteurs du travail sur l'effectif théorique de 6, pour assurer le suivi du sud du département. Cette situation a et aura des conséquences dramatiques pour les salariés et elle est inacceptable. La CGT a exigé qu'une solution soit trouvée pour remédier à ces faits.

 

VALENCIENNES - LE 13 AOUT 1999

Ce jour, une délégation de salariés des entreprises de la construction et des travaux publics se sont rendus à la Direction Départementale du Travail d'Anzin pour signaler aux inspecteurs 5 accidents de travail sur le site de TOYOTA. Ils ont été reçus et ont demandé un renforcement des visites de sécurité effectuées par la DDTE sur le site.

 

VALENCIENNES - LE 26 OCTOBRE 1999

Les administrateurs CGT de la CAF de Valenciennes ont voté contre le budget 2000 soumis lors du C.A du 25/10/99.

La CGT ne peut accepter un tel budget qui ne tienne pas compte de la mise en place de la loi sur les 35 heures au 1er janvier.

Alors que le gâchis financier de la mise en place du système informatique "CRISTAL", qui a coûté des millions à la CAF au détriment des allocataires.

Alors que le manque de personnel est flagrant et s'inscrit dans une politique de gérer à moindre coût.

Les administrateurs CGT se sont opposés à ce budget qui ne tient pas compte de tous ces problèmes.

Le patronat par la voie du MEDEF et les autres organisations syndicales ont par leur vote, signés un chèque en blanc à la direction de la CAF sans aucune garantie.

La CNAF est prête à payer des heures supplémentaires au 1er janvier sans créer des conditions d'emplois sur un arrondissement avec un fort taux de chômage et où les allocataires ont besoin d'un autre service public.

La CGT continuera à mener une lutte âpre afin que toutes les conditions soient remplies, à l'intérieur et à l'extérieur de la CAF, d'une prise en compte des revendications pour un service public de qualité et des conditions de travail optimales pour les salariés de l'entreprise.

VALENCIENNES - LE 9 DECEMBRE 1999

Les demandeurs d'emploi ne se contenteront pas de l'effet d'annonce provoqué par l'attribution d'une prime de 1000 F pour les plus démunis (bénéficiaires de l'Allocation Spécifique de Solidarité, de l'Allocation Spécifique d'Attente, de l'Allocation d'Insertion et les RMIstes). Néanmoins, c'est bien à partir des journées nationales d'actions des 16 et 20 novembre 1999 qui ont mobilisé plus de 4100 demandeurs d'emploi du Valenciennois a l'appel de la CGT que cette première avancée a été obtenue. C'est la preuve que le Gouvernement craint de voir le mouvement revendicatif prendre de l'ampleur. D'autre part, l'attribution de cette allocation n'est pas de nature à modifier en profondeur la situation des demandeurs d'emploi. L'avenir de la convention de l'assurance chômage gérée par l'UNEDIC reste dans l'impasse : en l'état actuel elle n'indemnise que 4 chômeurs sur 10, fidèle à ses principes, l'organisation patronale (le MEDEF) bloque toutes négociations et rejette avec mépris les revendications des chômeurs, alors que seules les richesses produites à l'entreprise sont de nature à financer un système de protection sociale et d'indemnisation décent des demandeurs d'emploi, de plus, l'objectif du retour au plein emploi demeure illusoire, le gouvernement refusant d'aborder la législation des 35 heures sous un aspect offensif.

Pour toutes raisons et sans attendre, le Comité CGT des privés d'emploi a décidé d'intensifier l'action massive des chômeurs en organisant ce mercredi 15 décembre 1999 à 14 h 00 un rassemblement devant la gare SNCF de Valenciennes.

VALENCIENNES - LE 15 DECEMBRE 1999

Trois militants de la CGT dont un dirigeant et un ex dirigeant de l'UL CGT de Valenciennes sont convoqués ce lundi 20 décembre 1999 au Tribunal de Grande Instance de Valenciennes à partir de 9 h 00 pour y être entendus par le Jude d'Instruction dans l'affaire de l'occupation de la Chambre Patronale de la Métallurgie.

A cette occasion, un rassemblement est prévu ce jour-là à 9 h 00 devant le TGI de Valenciennes.

 VALENCIENNES - LE 11 AOUT 1999

L'UL CGT avait sollicité une entrevue auprès de la Sous-préfecture de Valenciennes. Cette rencontre a eu lieu le mardi 10 août 1999 à 9 h 00 avec le Secrétaire général de l'institution. Les dirigeants de l'UL on fait part de leurs vives inquiétudes quant au fonctionnement de l'Inspection du Travail. En effet, cette administration souffre d'un manque cruel d'effectif en inspecteurs. Jusqu'en juillet 2000, il n'y aura quasiment que 2 inspecteurs du travail sur l'effectif théorique de 6, pour assurer le suivi du sud du département. Cette situation a et aura des conséquences dramatiques pour les salariés et elle est inacceptable. La CGT a exigé qu'une solution soit trouvée pour remédier à ces faits.

 

VALENCIENNES - LE 13 AOUT 1999

Ce jour, une délégation de salariés des entreprises de la construction et des travaux publics se sont rendus à la Direction Départementale du Travail d'Anzin pour signaler aux inspecteurs 5 accidents de travail sur le site de TOYOTA. Ils ont été reçus et ont demandé un renforcement des visites de sécurité effectuées par la DDTE sur le site.

 VALENCIENNES - LE 26 OCTOBRE 1999

Les administrateurs CGT de la CAF de Valenciennes ont voté contre le budget 2000 soumis lors du C.A du 25/10/99.

La CGT ne peut accepter un tel budget qui ne tienne pas compte de la mise en place de la loi sur les 35 heures au 1er janvier.

Alors que le gâchis financier de la mise en place du système informatique "CRISTAL", qui a coûté des millions à la CAF au détriment des allocataires.

Alors que le manque de personnel est flagrant et s'inscrit dans une politique de gérer à moindre coût.

Les administrateurs CGT se sont opposés à ce budget qui ne tient pas compte de tous ces problèmes.

Le patronat par la voie du MEDEF et les autres organisations syndicales ont par leur vote, signés un chèque en blanc à la direction de la CAF sans aucune garantie.

La CNAF est prête à payer des heures supplémentaires au 1er janvier sans créer des conditions d'emplois sur un arrondissement avec un fort taux de chômage et où les allocataires ont besoin d'un autre service public.

La CGT continuera à mener une lutte âpre afin que toutes les conditions soient remplies, à l'intérieur et à l'extérieur de la CAF, d'une prise en compte des revendications pour un service public de qualité et des conditions de travail optimales pour les salariés de l'entreprise.

 VALENCIENNES - LE 9 DECEMBRE 1999

Les demandeurs d'emploi ne se contenteront pas de l'effet d'annonce provoqué par l'attribution d'une prime de 1000 F pour les plus démunis (bénéficiaires de l'Allocation Spécifique de Solidarité, de l'Allocation Spécifique d'Attente, de l'Allocation d'Insertion et les RMIstes). Néanmoins, c'est bien à partir des journées nationales d'actions des 16 et 20 novembre 1999 qui ont mobilisé plus de 4100 demandeurs d'emploi du Valenciennois a l'appel de la CGT que cette première avancée a été obtenue. C'est la preuve que le Gouvernement craint de voir le mouvement revendicatif prendre de l'ampleur. D'autre part, l'attribution de cette allocation n'est pas de nature à modifier en profondeur la situation des demandeurs d'emploi. L'avenir de la convention de l'assurance chômage gérée par l'UNEDIC reste dans l'impasse : en l'état actuel elle n'indemnise que 4 chômeurs sur 10, fidèle à ses principes, l'organisation patronale (le MEDEF) bloque toutes négociations et rejette avec mépris les revendications des chômeurs, alors que seules les richesses produites à l'entreprise sont de nature à financer un système de protection sociale et d'indemnisation décent des demandeurs d'emploi, de plus, l'objectif du retour au plein emploi demeure illusoire, le gouvernement refusant d'aborder la législation des 35 heures sous un aspect offensif.

Pour toutes raisons et sans attendre, le Comité CGT des privés d'emploi a décidé d'intensifier l'action massive des chômeurs en organisant ce mercredi 15 décembre 1999 à 14 h 00 un rassemblement devant la gare SNCF de Valenciennes.

 VALENCIENNES - LE 15 DECEMBRE 1999

Trois militants de la CGT dont un dirigeant et un ex dirigeant de l'UL CGT de Valenciennes sont convoqués ce lundi 20 décembre 1999 au Tribunal de Grande Instance de Valenciennes à partir de 9 h 00 pour y être entendus par le Jude d'Instruction dans l'affaire de l'occupation de la Chambre Patronale de la Métallurgie.

A cette occasion, un rassemblement est prévu ce jour-là à 9 h 00 devant le TGI de Valenciennes.

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VALENCIENNES - LE 17 JANVIER 2000

la CGT est restée fidèle aux engagements pris lors de sa Commission Exécutive quant à la présentation et l'élection aux présidences du Conseil de Prud'hommes de Valenciennes.

De plus, le syndicat CGT de la SEMURVAL avait donné quitus à M. RAVEZ de voter pour le candidat présenté par l'Union Locale CGT de Valenciennes, à la présidence générale.

Il est normal, dans ce contexte, qu'un recours auprès de la justice soit engagé sur la base des faits constatés lors de cette séance de vote.

Toutefois, et malgré ces regrettables péripéties, la CGT continuera à remplir sa tâche au sein du Conseil des Prud'hommes. Ses conseillers intègres, défendrons avec toutes leurs forces, dans le respect du mandat qui leur a été donné par le suffrage des salariés, l'application de la législation relative au droit du travail.

Le but du recours déposé est bien d'annuler l'élection pour que s'arrêtent les intérêts personnels et qu'une justice sereine et équitable soit rendue au profit du monde du travail.

 

VALENCIENNES - LE 28 JANVIER 2000

COMMUNIQUE DE PRESSE DU SYNDICAT CGT DU CENTRE HOSPITALIER DE VALENCIENNES

Dans le cadre de la journée d'action dans la santé, au Centre Hospitalier de Valenciennes, 50 agents grévistes se sont rendus à la direction pendant qu'une trentaine d'autres restaient dans le hall de l'hôpital. Tous exigeaient plus de moyens pour soigner correctement.

La Direction a été interpellée sur les difficultés rencontrées par les agents dans chaque service. Elle a reconnu l'existence de difficultés. La CGT présente a demandé la mise en place d'une procédure de qualité :

- un recensement de tous les besoins en matériel non satisfaits,

- une refonte de la grille des emplois, service par service, sur la base de besoins nouveaux.

Cette démarche devrait conduire à une réévaluation budgétaire. Quelques dizaines d'agents se sont rendus à la manifestation prévue à Lille.

VALENCIENNES - LE 1er FEVRIER 2000

 

COMMUNIQUE DE PRESSE DU L'UNION LOCALE CGT DU VALENCIENNOIS

Se réfugiant derrière une procédure diligentée selon lui par Elisabeth GUIGOU, le Procureur a demandé aux conseillers prud'homaux du collège Industrie de Valenciennes de suspendre Louisette OLIVIER, secrétaire générale de l'Union Locale CGT du Valenciennois, de son mandat de conseillère prud'homale. Les 10 juges issus du patronat valenciennois se sont prononcés pour cette sanction. L'Union Locale CGT se félicite du positionnement des juges salariés qui n'ont cédé ni aux pressions patronales locales, ni aux campagnes visant à criminaliser ou ternir l'action syndicale.

Ce conseil de discipline convoqué par le Procureur alors même que le jugement dans la procédure pénale qu'il avait lui-même lancé contre Louisette OLIVIER n'était pas encore connu, n'avait pas lieu d'être puisqu'un appel a été déposé dès connaissance du jugement. Cette célérité dans la mise en mouvement des procédures ne peut qu'interroger sur la partialité et l'indépendance du Parquet quand d'autres affaires, notamment des délinquances patronales, traînent depuis des années.

Ce qui doit être à l'ordre du jour et que devrait prendre à bras le corps les Pouvoirs Publics et l'Administration judiciaire est justement le combat contre la délinquance patronale, le combat contre les licenciements abusifs et le harcèlement moral subit par des milliers de salariés du Valenciennois, le combat pour faire prévaloir les libertés dans les entreprises, notamment celles de syndiquer et de l'organiser collectivement.

Face aux exigences du Patronat qui refuse une réelle réduction du temps de travail créatrice d'emplois et de mieux vivre, qui met en cause les retraites et l'indemnisation du chômage, les salariés actifs, privés d'emploi et retraités qui rejoignent nombreux la CGT et les luttes qui se développent dans tous les secteurs, témoignent de la bonne voie dans laquelle la CGT s'est engagée dans son 46ème Congrès.

C'est cela que craint le patronat, c'est cela qu'ont condamné les juges patronaux des prud'hommes du Valenciennois.

VALENCIENNES - LE 28 JUIN2000

COMMUNIQUE DE PRESSE DU L'UNION LOCALE CGT DU VALENCIENNOIS

Rejetant l'idée que les chômeurs sont responsables de leur situation, nous considérons que le dispositif d'indemnisation des demandeurs d'emploi doit s'adresser au plus grand nombre. Forcé de constater que l'accord ratifié par le patronat et 2 organisations syndicales (CFTD, CFTC) bouleverse en profondeur les règles d'indemnisation du chômage. Après avoir introduit la dégressivité des allocations, Nicole NOTAT, Secrétaire Général de la CFDT tente de convaincre les septiques du bien fondé de cet accord, ce qui soulève d'importants remous au sein de son organisation. En réalité, l'indemnisation du chômage devient une prime au mérite : le "Plan d'Aide au Retour à l'Emploi" (P.A.R.E) expose le demandeur d'emploi qui n'en respectera pas les modalités à la suppression de ses allocations. L'accès aux allocations pour les chômeurs fera l'objet d'une "Convention d'Aide au Retour à l'Emploi" (C.A.R.E) qui confirme la volonté patronale de mettre en place de nouveaux contrats de travail précaires (C.D.D, Contrat de mission). Bien que les prévisions excédentaires de l'UNEDIC du 31/12/99 au 31/12/2003 représentent 97,2 milliards de francs, ce nouvel accord sur l'assurance chômage ne permet pas d'indemniser un chômeur de plus, ni d'améliorer les conditions d'indemnisation. On comprend mieux la portée du tour de force du MEDEF du baron SEILLIERE opéré avec les principaux acteurs de ce hold-up. Le Gouvernement aura à se prononcer sur le fond, il est au pied du mur et se trouve face à un choix de société. Face à cette situation, la CGT se met à la disposition des forces vives du Valenciennois. Elle appelle les chômeurs, les salariés actifs, retraités à se rassembler le vendredi 30 juin à 16 h 00 devant la Sous-préfecture de Valenciennes.

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VALENCIENNES - LE 8 FEVRIER 2001

COMMUNIQUE DE PRESSE DU L'UNION LOCALE CGT DU VALENCIENNOIS

L'UNION LOCALE CGT DE VALENCIENNES tient à reprendre les propos du directeur de TOYOTA France, qui au cours de la présentation, très médiatisée, de la mise en route officielle de l'usine d'Onnaing déclara :

"peut-être sera-t-on moins humain lorsque la production marchera à plein, car nous devons nous montrer le plus compétitif possible"

Les intentions de TOYOTA sont déjà moins humaines et la loi de la politique d'entreprise prend déjà forme.

Au-delà de cette première analyse, l'Union Locale des Syndicats CGT du Valenciennois veut apporter aux salariés du Valenciennois quelques précisions sur le financement de TOYOTA.

Le coût de l'opération est pourtant éloquent : 4 milliards de F dont 370 millions de F pour le Valenciennois (chiffre sous-estimé). Cela représente 1 667 F par habitant ou 6 486 F par salarié ou 185 000 F par salarié embauché ou qui devrait l'être !

Merci monsieur TOYOTA çà c'est du financement !

Rentabilité de management par le stress voilà deux axes de la politique d'entreprise que prône le TOYOTISME.

Les salariés de l'arrondissement comprendront que dans ces conditions c'est plutôt à TOYOTA de remercier l'ensemble des habitants du Valenciennois qui se paient le droit de travailler. A travers ce communiqué de presse la CGT entend protester contre de telles pratiques qui mettent l'ensemble des salariés à la merci des grandes multinationales avec l'appui des pouvoirs publics et de certains élus locaux.

Nous resterons vigilants sur les conditions de vie et de travail des salariés de TOYOTA ONNAING, vu que pour ainsi dire nous sommes tous actionnaires de cette usine... 

VALENCIENNES - LE 8 FEVRIER 2001

 LETTRE OUVERTE à Monsieur le Ministre de l'Intérieur S/C Monsieur le Sous-préfet de Valenciennes.

Monsieur le Ministre,

Alors qu'ils manifestaient pacifiquement pour défendre leur emploi et exiger d'autres moyens pour un service public de qualité envers les citoyens, le Préfet de Police a envoyé les gardes mobiles contre les sapeurs pompiers.

Les forces de l'ordre se sont attaquées de manière violente, et sans aucun discernement ont fait usage, sur ordre, de moyens dangereux envers les pompiers.

Six d'entre eux ont été blessés, dont un a eu la main arrachée.

Nous nous élevons contre de tels agissements et les conséquences qu'ils engendrent. Nous tenons le Préfet de Police comme responsable à part entière de ces dérapages inacceptables.

L'UNION LOCALE DES SYNDICATS CGT DU VALENCIENNOIS et l'ensemble de ses syndicats demande qu'une enquête sérieuse soit diligentée et que les véritables responsables et non les intermédiaires soient punis pour cet acte criminel.

Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, nos respectueuses salutations.

VALENCIENNES - LE 14 MARS 2001

LETTRE de Jean Luc PIERACHE (Administrateur COROREP) à Madame le Ministre de la Santé - PARIS

Madame le Ministre,

Administrateur COTOREP mandaté par l'Union Locale CGT de Valenciennes, depuis le 7/11/2000, mon organisation et moi-même, nous nous permettons de vous interpeller sur différents points :

- pourquoi les fichiers de dossiers à traiter mentionnent-ils le nom et l'adresse des demandeurs ?

- ne pourrait-on prendre exemple sur les autres administrations telles que : la Sécurité Sociale, ANPE, la CAF ? Ces organismes travaillent avec les numéros d'immatriculation, numéros de dossiers ou numéros d'allocataires.

- pourquoi lors d'étude de dossiers de certains assurés, ceux-ci sont-ils dans l'obligation de dévoiler leur état de santé en commission ? Devant un Médecin cela est tout à fait normal et logique mais, pourquoi devant toute la commission ? Par cette pratique, ne bafoue-t-on pas le droit à toute personne de préserver sa dignité en tant qu'individu ? Ne fait-on plus état du secret médical ?

- l'attitude de certains membres de la commission technique n'est-elle pas à la limite de la décence ?

La stratégie utilisée par certains administrateurs ne pousse-t-elle pas parfois le demandeur à se culpabiliser sur son état de santé ?

Dans de nombreux cas, après l'examen de ce patient, ces mêmes personnes ne le considèrent-elles pas comme un malade ayant des troubles psychologiques et non plus comme un malade potentiel ?

Cela n'entraînerait-il pas autant de rejets des dossiers ? Sommes-nous dans une salle d'audience d'un tribunal ?

Le rôle de la COTOREP, rappelons-le, est indispensable pour éviter toutes les formes d'exclusions possibles de personne rencontrant un handicap. Cette reconnaissance en tant que personne handicapée, est souvent essentielle pour continuer à vivre décemment.

De plus, au vue de la représentativité, notre organisation syndicale CGT, des salariés actifs ou non, est la plus représentative et, non l'une des plus représentatives.

Permettez-nous de vous interpeller sur le fait que nous aurions dû être nommé Titulaires et non Suppléants.

Nous vous demandons par décision ministérielle, d'intervenir et de faire cesser ces pratiques discriminatoires doublées d'un harcèlement moral.

Recevez, Madame la Ministre, nos salutations respectueuses.

VALENCIENNES LE 5 AVRIL 2001

Communiqué de presse de l'UL CGT (NON PARU A CE JOUR)

Y-A-T-IL UN PROBLEME DE SANTE PUBLIQUE A RECYDEM - LOURCHES ?

Nous nous interrogeons sur les résultats de l'enquête de la DRIRE (Direction Régionale de l'Industrie de la Recherche et de l'Environnement) suite à l'intervention du représentant syndical CGT de cette entreprise sise à Lourches.

En effet, de nombreux témoignages de salariés de cette entreprise font état de problèmes dans le traitement des déchets et leur enfouissement.

Pour seule mesure d'apaisement de ces craintes, la Direction de REDYDEM n'a trouvé d'autre alternative que d'engager une procédure de licenciement immédiate à l'encontre du Délégué du Personnel CGT, Patrick BOLOGNINI, sous le motif d'informations calomnieuses.

Dans cette entreprise, à capitaux belges, nous nous interrogeons sur le respect de la législation française en matière de traitement de déchets toxiques mais aussi sur leur volonté de préserver l'environnement et de garantir la santé publique des populations du canton de Denain et Lourches et de leurs salariés.

De plus, les partenaires de cette société (SIRDHIM, élus des communes environnantes) doivent être mis au courant immédiatement des conséquences de ces pratiques actuelles.

Le traitement social dans cette société est à la hauteur du traitement des immondices.

Les salariés sont confrontés au quotidien à des conditions de travail dignes de Germinal et du XIX siècle avec pour seul dialogue avec la direction : TRAVAILLES ET TAIS TOI OU SINON C'EST LA PORTE !

Le dialogue n'a pas de place et le syndicat est hors la loi dans ce monde impitoyable !

Nous appelons les pouvoirs publics, les élus locaux concernés, les salariés de l'entreprise à réagir et à soutenir notre délégué pour qu'il puisse continuer son juste combat contre l'arbitraire dont tous sont victimes.

Aujourd'hui, dire la vérité c'est être banni du travail.

Une pétition sera présentée à l'ensemble des salariés afin d'exiger la réintégration immédiate de Patrick BOLOGNINI à son poste de travail.

Valenciennes le 10 avril 2001.

Lettre de Patrick BOLOGNINI (Délégué du Personnel CGT à RECYDEM - Lourches)

à M. GENNEQUIN, chef des services des installations classées, à la DRIRE de Lille.

Monsieur,

En ma qualité de Délégué du Personnel CGT de l'entreprise RECYDEM à Lourches, j'ai interpellé la DRIRE par courrier en date du 7/02/2001 dans lequel je mentionnais que la société RECYDEM enterre toute sorte de déchets pouvant occasionner des problèmes pour la santé des salariés du site ainsi que pour les populations environnantes.

J'ai d'ailleurs en ma possession des témoignages de salariés du site qui attestent les mêmes dires que moi.

Je ne suis pas satisfait des contrôles qui ont été faits par M. VINCQ (responsable de la subdivision de la DRIRE à Valenciennes), en effet, le 2/04/2001 au matin, j'ai rencontré M. VINCQ dans son bureau à la Zone d'Activités de PROUVY ROUVIGNIES, il m'a présenté un plan d'occupation de surface de l'entreprise, où j'avais déjà signalé à M. GUERIN (personne qui suivait l'entreprise RECYDEM au niveau de la DRIRE) les endroits où des produits de toute sorte avaient été enterrés.

Lors de la visite de la DRIRE du 2 et 3 avril 2001, ces endroits n'ont pas fait l'objet de fouille, par ailleurs je vous signale que pratiquement tous ces endroits sont aujourd'hui recouverts de dalles de béton surmontées de bâtiments.

Dans l'intérêt des salariés et des populations, je vous demande par la présente, de refaire un contrôle en mettant tout en oeuvre afin que toute la lumière soit faite sur cette affaire.

Je vous informe aussi que la direction de RECYDEM m'a convoqué dans ses locaux le 3 avril 2001 à 18 h 30 pour me dire : "tu es fier de ce qui tu as fait !" et m'a signifié que j'étais licencié de l'entreprise sur le champs. Avant même que les conclusions de M. VINCQ ne soient connues.

Je tiens à vous informer aussi que je vais saisir le Ministère de l'Environnement, le Ministère de la Santé publique, ainsi que le Préfet du Nord car je considère que défendre les salariés de mon entreprise et les populations environnantes est un devoir pour moi.

Dans l'attente d'une réponse de votre part, veuillez agréer, Monsieur, l'expression de mes sentiments distingués.

Copie du dossier pour information : M. Alain BOCQUET, député maire de Saint Amand les Eaux, M. Patrick LEROY, député maire de Denain, M. Jean Louis BORLOO, député maire de Valenciennes, Ministère de l'Environnement, Ministère de la Santé, au Préfet du Nord.

Valenciennes le 12 avril 2001.

Suite à l'article paru dans la Voix du Nord du 4/4/2001. La CGT Communique

Notre secrétaire de l'Union Locale qui est prévenue d'abus de confiance a été condamnée en première instance à 4 mois de prison avec sursis et à 2 ans d'interdiction d'exercer un mandat juridictionnel. La Cour d'Appel vient d'alourdir cette sanction en maintenant la peine de prison avec sursis mais en alourdissant la durée d'interdiction à 5 ans. Le pourvoi en cassation a été engagé.

Sur les faits... Alors qu'elle était secrétaire du CE et de son syndicat, dans l'attente de l'ouverture d'un compte propre au syndicat, elle utilise un compte d'une caisse d'entraide dont elle avait la signature et qui apparemment ne servait pas, pour y déposer les cotisations syndicales.

Dès l'ouverture du compte syndical, elle transféra la somme de 6 187,70 F du compte d'entraide vers celui du syndicat. Elle se rendit à la banque afin d'effectuer l'opération et signa les documents présentés.

Or, ce compte n'était pas un simple compte courant mais il hébergeait 1 600 actions pour une somme de 192 992 F. Cette opération bancaire entraîna le virement des titres sur le compte du syndicat.

Suite au changement de majorité, une expertise comptable a été diligentée par la direction de l'entreprise. Le syndicat découvrit l'erreur et restitua l'intégralité des titres avec les intérêts sur le compte de la caisse d'entraide d'où ils émanaient.

En clair, ni les salariés, ni l'entreprise n'ont été lésés et aucun enrichissement personnel ne peut être reproché à notre camarade. D'ailleurs, le CE n'a pas porté plainte. L'employeur l'a fait en allant déposer au commissariat.

Le Procureur de la République poursuivit la plainte engagée par l'employeur suite au refus de notre camarade de démissionner de sa fonction de conseillère prud'homale, en effet, elle considérait qu'elle avait commis une erreur par méconnaissance de procédures financières et donc qu'il n'y avait pas de faute.

Le reste est connu...Cette affaire a été jugée en première instance et en appel avec une célérité extraordinaire. Le Procureur a même demandé, par la voie du Président de la Cour d'appel de Douai et par le truchement d'une procédure disciplinaire, la suspension du mandat de conseillère prud'homale.

La garde des sceaux n'a pas donné suite à la recommandation du conseil.

Considérant que cette décision est injuste et parce que la procédure est entachée de nombreuses irrégularités qui signent l'empressement et la volonté du Procureur et du patronat du Valenciennois d'en découdre avec la CGT, nous sommes maintenant engagés dans un recours auprès de la Cour de Cassation.

Sur la presse et l'article de la "Voix du Nord" du 4/04/2001, chacun comprend qu'il y a nécessité pour la presse de faire des efforts de synthèse et nul ne peut reprocher à un journaliste voire à un journal de donner son opinion sur les faits qu'il relate.

Pour autant, lorsque d'une manière répétitive et sur fond d'informations fausses, le rédacteur d'un journal construit une opinion qu'il livre aux lecteurs, cela ne peut être mis sur le compte de l'amateurisme ou du manque de personnel journalistique qualifié mais bien sur la volonté de nuire.

Nous n'admettons pas cette stratégie d'autant que cet article suppute l'idée que la CGT cherche par des moyens de procédure d'échapper au jugement. Cela est faux ! Notre secrétaire n'a rien de répréhensible à se reprocher tout au plus peut-on la taxer d'incompétence de gestion si tant est que la méconnaissance des règles de la spéculation soit du ressort d'un secrétaire de CE.

Le Secrétariat de l'Union Locale.

Déclaration d'Octave SELON, administrateur à l'ASSEDIC Sambre Escaut.

7.Présentation, discussion  et adoption du Traité de Fusion.

DECLARATION PRELIMINAIRE :

Paradoxalement depuis 1992, sous l'impulsion du CNPF relégué par le MEDEF, la direction de l’UNEDIC a engagé un effort de modernisation pour assurer son adaptation à ses missions.  Le contenu des dispositions successives a depuis été  contraire aux intérêts des privés d’emploi.

Notre organisation les a combattus et continuera à les combattre ; c’est le sens de son adhésion à la convention de gestion des institutions afin d’assurer sa présence dans les instances et les institutions du régime d’assurance chômage.

Rappelons que l’A.U.D. a entraîné le raccourcissement des périodes indemnisées et accrue le nombre des chômeurs non indemnisés : 4 demandeurs d’emploi sur 10 le sont, et mal.

La priorité d'une réelle modernisation du régime d’assurance chômage est de reconstruire un autre système d’indemnisation pour les privés d’emploi.

Les dispositions du P.A.R.E. sont contraires à cette orientation puisqu’elles conduisent à la suppression d’un droit collectif au profit d’un contrat individuel, liant le demandeur d’emploi aux institutions de l’assurance chômage.

La lettre et l'esprit de la réorganisation structurelle des ASSEDIC, telle qu’elle est proposée, éloignent le lieu de décision de l’intervention des usagers, ce qui va à l’encontre de leurs besoins. Cette réforme met en cause les intérêts des personnels puisqu’elle est avant tout utilisée comme contrepoids pour amortir les effets de l’ORTT.

La modernisation du système d’indemnisation des demandeurs d’emploi passe aussi par une réforme fondamentale du paritarisme qui doit prendre en considération la représentativité des demandeurs d’emploi et assurer une représentation démocratique des centrales syndicales par l’organisation d’élections.

Trois organisations patronales ne peuvent, à elles seules, représenter la moitié des mandats.

Nous sommes engagés dans un processus contraire à toute modernisation ; ce qui conduit notre délégation à s’opposer à toutes mesures de "fusion-absorption"enclenchant la dissolution de notre institution.

SYNDICAT CGT S.D.I.S VALENCIENNE- LE 16/11/2001

Lors de la venue du Premier Ministre sur le site de TOYOTA à Onnaing, un FSR ainsi qu’un VSAB (véhicule les plus modernes du C.S. de Valenciennes) ont été mis à disposition pour assurer sa sécurité. En remplacement pour couvrir la sécurité de nos concitoyens : un VASB (ambulance) qui laissait à désirer, un J9 (avec du matériel de désincarcération mis en vrac dans la cellule)

La presse, aussitôt alertée, s’est rapprochée de l’organisation syndicale CGT représentée ce jour-là par le caporal Emmanuel C. à la Caserne des sapeurs pompiers de Valenciennes (CSP).

Le mardi 20 novembre 2001 à 16 h, notre camarade est convoqué par son colonel pour recevoir une sanction disciplinaire de trois jours pour manquement au devoir de réserve et à l’obligation de discrétion, que devoir de réserve ? Quelle obligation de discrétion ? Veut-on bâillonner certaines corporations ?

Le discours du gouvernement sur l’absence de civisme des citoyens, le retour de l’instruction civique à l’école, nous amènent à nous poser certaines questions :

-         comment peut-on dans ce cas vouloir sanctionner de trois jours de mise à pied un acte citoyen ? ,

-         le civisme s’arrête-t-il à la théorie ? ,

-         la volonté de sanctionner est-elle liée à la venue de M. JOSPIN ?,

-         n’y avait-il pas la possibilité de mettre le même matériel à disposition de la population ?.

Le constat, aujourd’hui est le suivant : on veut sanctionner un délégué syndical CGT, simple homme de rang, pour avoir dénoncé l’irresponsabilité des autorités et pour avoir eu une action citoyenne envers la population valenciennoise.

Valenciennes le 20 novembre 2001.

 

L’Union Locale des Syndicats CGT du VALENCIENNOIS appelle l’ensemble des salariés à participer à l’EURO-MANIF de BRUXELLES le jeudi 13 décembre 2001.

 

Toutes les initiatives d’actions doivent trouver leur source à travers l’ensemble des revendications sur les lieux de travail. Ces syndicats mettront tout en œuvre pour qu’à travers un appel à la grève, un maximum de travailleurs se retrouvent à Bruxelles ce 13 décembre pour revendiquer plus et mieux d’Europe sociale.

 

L’enjeu est de construire des nouvelles garanties collectives face à l’ensemble des attaques et déréglementations qui se font jour quotidiennement dans nos entreprises.

 

Les choix économiques du patronat et le questionnement des gouvernements européens, dans une logique économique qui ne répond pas aux besoins sociaux des salariés des entreprises, des délocalisations, les fusions de groupes industriels, les investissements financiers uniquement basés sur la satisfaction des actionnaires, l’austérité en matière de salaires, le chômage en évolution, sont autant de facteur de mobilisation pour contrer cette politique de régressions sociale.

 

La France et l’Europe sont à la croisée des chemins. Les choix sociaux et économiques seront décisifs face à l’ensemble des ces attaques.

 

L’UNION LOCALE des Syndicats CGT de Valenciennes organise un départ collectif de la place Poterne  de  Valenciennes  pour  permettre  aux  salariés  de  se  rendre  à  BRUXELLES  ce 13 décembre 2001.

Le départ est fixé à 8 h 30 et le retour vers 19 h 00, une participation de 30 F sera demandée.

 

                                              

COMPTE RENDU DE LA MISE EN PLACE DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE L’URSSAF DE VALENCIENNES - LE 25 OCTOBRE 2001 – 14H 30

 

Présents pour la CGT : BENAICHE Fatima, DUVIVIER Jean Marie, LEBOUVIER Michèle et RICHARD Joël.

 

La venue des administrateurs suppléants CGT a été accueillie d’une façon courtoise. Néanmoins après une réflexion de l’agent comptable de l’URSSAF, il a été demandé aux suppléants de quitter la séance juste avant l’élection des présidences et vice-présidences. Ils ont donc assisté à l’appel et aux différentes interventions des représentants.

 

ELECTION DU PRESIDENT :

 

13 électeurs, 9 votants :

 

5 voix   M. MINEZ Raymond (UPA), élu.

3 voix              Melle LEBOUVIER Michèle (CGT)

1 voix              M. MICHOSE

 

ELECTION DES VICE-PRESIDENTS :

 

M. NEYRET Gérard (CFTC) vice-président.

M. SOUFFLET Maurice (CGC) suppléant.

 

DESIGNATIONS DANS LES COMMISSIONS :

 

Commission des contrôles 

 

 

Titulaires          MINEZ Raymond (UPA)                    Suppléants           IBANEZ Monique (CFTC)

                        ROMBAUX Gérard (UPA)                               

                        THUIN Denis (UNPL)

                        MORIAMEZ Henri (personne qualifiée)         

           

Commission recours amiable 

 

Titulaires          DUVIVIER Jean Marie (CGT)            Suppléants           AGNERAY Christophe (FO)

                        MINEZ Raymond (UPA)                                                ROMBAUX Gérard (UPA)

 

Commission des marchés 

 

Budget : 300 000 F

 

Titulaire            BENAICHE Fatima (CGT)     Suppléant              RICHARD Joël (CGT)      

 

Questions diverses :

 

La CGT : peut-on envoyer l’ordre du jour aux suppléants.

Le président : oui, je n’y vois aucun inconvénient.

Plus de question.

 

COMPTE RENDU DE LA MISE EN PLACE DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA C.A.F DE VALENCIENNES

LE 25 OCTOBRE 2001 – 9 H 30

 

Présents pour la CGT : BOSSU Nadine, HOEL Bernard, OLIVIER Louisette et VITOUX Franck.

 

La venue des administrateurs suppléants CGT a amené une grande panique dans les organisations syndicales CFTC, CFDT, CGC et FO. Suite à l’intervention verbale du directeur de la CAF, la CGT a pris la parole pour revendiquer le droit aux suppléants d’assister au Conseil d’Administration afin qu’ils puissent assumer toute leur responsabilité de suppléant si cela devait se présenter.

 

Les organisations syndicales sont venues appuyer la position de la CGT.

 

Les organisations syndicales se sont exprimées dans le vote du président. La CGT a attendu pour se prononcer en dernier. Les suppléants ont quitté la réunion conformément au règlement intérieur qui dit que les suppléants n’assistent pas au vote des présidences et vice-présidences.

 

ELECTION DU PRESIDENT :

 

1 seule candidature : Cécile ROGEZ (CFTC) : 15 électeurs, 13 votants, 13 pour et 2 abstentions.

 

ELECTION DES VICE-PRESIDENTS : 3 postes à pourvoir :

 

1)       une seule candidature : Raymond MINEZ (UPA) : 15 électeurs, 13 votants, 11 pour, 2 blancs, 2 abstentions.

2)       une seule candidature : Auguste TISON (CGC) : 15 électeurs, 13 votants, 13 pour, 2 abstentions.

3)       une seule candidature : André DETOURBE (CFDT) : 15 électeurs, 13 votants, 13 pour, 2 abstentions.

 

DESIGNATIONS DANS LES COMMISSIONS :

 

Commission des contrôles 

 

- les organisations syndicales :

 

Titulaires               DUFRESNES  Marc (CFDT)              Suppléants               DETOURBE André (CFDT)

                               AGNERAI Christophe (FO)                                                  ANDRIEUX Gérard (FO)

                               HOEL Bernard (CGT)                                                             nommé(e) au prochain CA           

 

- les représentants patronaux :

 

Titulaires               CARETTE Ch. Henri (UPA)              Suppléants               SOYEZ Marcel (UPA)

                              

- les représentants des associations familiales :

 

Titulaire                 LERICHE J. Philippe

 

 

- les représentants des personnes qualifiées :

               

Titulaire MALEZIEUX Andrée

 

Commission recours amiable 

 

- les organisations syndicales :

 

Titulaires               DETOURBE André (CFDT)              Suppléants               PAULARD M. France (CFDT)

                               VITOUX Franck (CGT)                                                          OLIVIER Louisette (CGT)

 

- les représentants patronaux :

 

Titulaires               MINEZ Raymond (UPA)  

                               SOYEZ Marcel (UPA)

 

- les représentants des associations familiales avec voix consultative :

 

Titulaire                 LERICHE J. Philippe                           Suppléants       BROUTIN Claudine

 

- les représentants des personnes qualifiées avec voix consultative :

               

Titulaire MALEZIEUX Andrée                        Suppléants         POREZ Thérèse

 

Commission de marché 

 

- les organisations syndicales :

 

Titulaires               BURY Gérard (CGC)                          

                               REGNIEZ Corinne (CFTC)

                               DUFRESNE Marc (CFDT)

                               VITOUX Franck (CGT)

                               SAELENS Christian (FO)

               

- les représentants patronaux :

 

Titulaires               MINEZ Raymond (UPA)  

                               SOYEZ Marcel (UPA)

                               CARETTE Ch. Henri (UPA)

 

- les représentants des associations familiales :

 

Titulaire                 DUGAL Francis                    

 

- les représentants des personnes qualifiées :

               

Titulaire BOULANGER M. Louise                  

 

Intervention de l’UPA concernant la parité. La CGT a pris la parole pour faire remarquer que si d’un point de vue patronale la parité n’est pas maintenue, les organisations syndicales n’en sont pas responsables.

 

Commission sociale

 

- les organisations syndicales :

 

Titulaires               DETOURBE André (CFDT)              Suppléants               DUFRESNE Marc (CFDT)

                               HENAULT Chantal (FO)                                                       AGNERAI Christophe (FO)

                               TISON Auguste (CGC)                                                         BURY Gérard (CGC)

                               ROGEZ Cécile (CFTC)                                                           REGNIEZ Corinne (CFTC)

                               OLIVIER Louisette (CGT)                                                     VITOUX Franck (CGT)

                                              

- les représentants patronaux :

 

Titulaires               MINEZ Raymond (UPA)  

                               SOYEZ Marcel (UPA)

                               CARETTE Ch. Henri (UPA)

 

- les représentants des associations familiales :

 

Titulaires               LERICHE J. Philippe                           Suppléant       DUGAL Francis

                               BROUTIN Claudine

 

- les représentants des personnes qualifiées :

               

Titulaires               POREZ Thérèse                                  Suppléants       BOULANGER M. Louise

                               MALEZIEUX Andrée                                                    DEGRYSE Michel

 

Vote pour donner pouvoir au directeur. La CGT a demandé quel pouvoir elle donnait réellement au directeur par son vote, il s’avère que ce vote était une autorisation à aller en justice aussi bien contre un fournisseur que contre un allocataire. La CGT a donc voté contre ce pouvoir, ce qui donne le résultat suivant : 15 électeurs, 15 votants, 13 pour et 2 contre.

 

Commission financière

 

- les organisations syndicales :

 

Titulaires               BOSSU Nadine (CGT)                        Suppléants               HOEL Bernard (CGT)

                               ANDRIEUX Gérard (FO)                                                       SAELENS Christian (FO)

                               OUADI Malika (CFDT)                                                         DUFRESNE Marc (CFDT)

                               BURY Gérard (CGC)                                                               TISON Auguste (CGC)

 

- les représentants patronaux :

 

Titulaires               MINEZ Raymond (UPA)  

                               SOYEZ Marcel (UPA)

                               CARETTE Ch. Henri (UPA)

 

- les représentants des associations familiales :

 

Titulaire                 LEBON Elisabeth                               Suppléants                 DUGAL Francis

                               DEROO M. Christine                                                               BROUTIN Claudine

 

Il y pas eu d’installation d’un bureau suite aux différentes interventions afin de ne pas enlever le pouvoir au Conseil d’Administration.

 

                                              

RESULTATS DES ELECTIONS DU 8/11/01 DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE DE L’ARRONDISSEMENT DE VALENCIENNES

ELECTIONS Comité Technique Paritaire (CTP)

 

 

Ville

 

Inscrits

 

Votants

 

Nuls

 

Exprimés

CGT

CFTC

CFDT

UNSA

Voix

Sièges

Voix

Sièges

Voix

Sièges

Voix

Sièges

Bruay/Escaut

174

140

11

129

56

2

73

3

 

 

 

 

Condé/Escaut

 

156

3

153

73

2

 

 

83

3

 

 

Vieux Condé

165

110

9

101

101

 

 

 

 

 

 

 

Onnaing

112

100

10

90

52

3

 

 

38

2

 

 

Marly

255

 

 

201

131

 

36

 

 

 

31

 

Escaudain

111

100

3

97

62

3

 

 

 

 

35

2

Petite Forêt

98

68

10

58

54

 

 

 

 

 

 

 

Raismes

190

122

15

107

107

 

 

 

 

 

 

 

Douchy les Mines

92

45

0

45

 

 

 

 

 

 

 

 

Fresnes/Escaut

72

52

4

48

48

 

 

 

 

 

 

 

Valenciennes

745

520

16

504

180

2

99

1

 

 

160

21

Denain

309

201

26

175

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ELECTIONS Commission Administrative Paritaire (CAP)

 

 

Ville

 

Inscrits

 

Votants

 

Nuls

 

Exprimés

CGT

CGC

FO

CFTC

CFDT

UNSA

Voix

Sièges

Voix

Sièges

Voix

Sièges

Voix

Sièges

Voix

Sièges

Voix

Sièges

Bruay/Escaut

133

120

 

 

51

 

0

 

5

 

50

 

10

 

0

 

Condé/Escaut

17

10

0

10

5

 

 

 

2

 

1

 

1

 

1

 

Vieux Condé

94

85

0

85

76

 

 

 

3

 

2

 

2

 

2

 

Onnaing

91

81

2

79

55

 

0

 

1

 

2

 

21

 

0

 

Marly

152

 

 

120

96

 

 

 

1

 

22

 

1

 

9

 

Escaudain

74

64

1

63

35

 

 

 

1

 

0

 

2

 

25

 

Petite Forêt

 

 

 

 

49

 

 

 

1

 

0

 

1

 

0

 

Raismes

122

85

 

 

98

 

 

 

9

 

3

 

1

 

1

 

Douchy les Mines

92

45

0

45

41

 

0

 

2

 

1

 

1

 

0

 

Fresnes/Escaut

63

41

1

40

30

 

0

 

3

 

4

 

1

 

2

 

Valenciennes

534

396

12

384

164

3

 

 

 

 

80

1

 

 

140

2

Denain

189

122

5

117

85

 

 

 

11

 

8

 

 

 

4

 

Le lundi 3 décembre 2001, ASSEMBLEE GENERALE des responsables de syndicats, sections syndicales, de collectifs et la C.E de l’UL à 9 h 00 au siège de l’Union Locale.

 

ANNEE 2002

 

 

VALENCIENNES, LE 19 FEVRIER

 

Dans le cadre du tour de France des privés d’emploi, l’Union Locale de Valenciennes organise avec les comités de chômeurs et en présence de Henri HARNOUX, représentant du Comité National des Privés d’Emploi et Agnès LE BOT, de l’Union Départementale, un débat sur l’accès à la formation.

 

A ce débat une invitation a été lancée auprès des directions de la DDTE, de l’ASSEDIC et l’ANPE pour alimenter ce débat.

 

L’Union Locale CGT du Valenciennois et ses syndicats font le constat que dans un contexte où les menaces sur l’emploi sont particulièrement vives sur le Valenciennois ; où le chômage repart à la hausse, mais aussi où des luttes syndicales pour des embauches sont à l’ordre du jour, il est de notre responsabilité de contribuer activement, notamment par notre présence, à la réussite à ce débat.

 

C’est pourquoi, nous invitons les privés d’emploi du Valenciennois à participer à cette initiative qui ne peut que les aider à créer les conditions de convergences de luttes entre les salariés et privés d’emploi.

 

Cette réunion aura lieu le mercredi 27 février 2002 à 14 h 00 à la VILLA TORIANI de Valenciennes (Rue Salle Lecomte).

 

Nous comptons sur la présence du plus grand nombre, les sans emplois doivent se faire entendre !

 

 

VALENCIENNES, LE 27 FEVRIER

 

Communiqué de presse de l’UL CGT de Valenciennes, des syndicats CGT de PPG Marly et Saultain et de la Fédération CGT de la Chimie.

 

PPG ne doit pas pratiquer la « terre brûlée »

Après une première phase de restructuration de l’entreprise avec la délocalisation de l’activité carrosserie entraînant la suppression de 245 emplois, le groupe PPG entame aujourd’hui une nouvelle procédure de suppression de 108 postes sur les deux sites de Marly et Saultain.

Nous vous informons que la CGT interpelle les organisations syndicales afin de permettre la mise en place d’une procédure d’alerte, d’autant plus que PPG distribue des participations aux bénéfices.

Un tract de masse sera distribué prochainement aux salariés des deux sites. Par ailleurs, nous invitons les salariés à venir débattre de cette situation et prendre les décisions qui s’imposent le samedi 9 mars 2002 à 10 h 00 à l’Antenne Locale CGT d’Onnaing (24 place de l’Expansion, au-dessus du commissariat de Police).

 

 

 

VALENCIENNES, LE 4 MARS

 

Lettre ouverte de l’Union Locale CGT

et de l’Euroconseiller CGT, GARCIA Antonio.

 

 

                                                                                                          Aux directions :

 

-         de la DDTE d’Anzin,

-         de la CPAM de Valenciennes,

 

Au  Sous-préfet de la

Sous-préfecture  de Valenciennes.

 

Aux députés-maires :

 

-         Alain BOQUET,

-         Jean Louis BORLOO,

-         Patrick LEROY.

 

Messieurs,

 

La mobilité géographique des salariés belges et français de notre « euro-région » concerne  23 500 personnes :

 

5 500 salariés belges travaillent dans notre région,

18 000 salariés de notre région travaillent en Belgique.

 

Plusieurs milliers de ces salariés travaillent avec un statut de détachement c’est à dire, employés par une entreprise française pour travailler en Belgique ou l’inverse. Ces salariés sont couverts par un accord bilatéral au niveau de la Sécurité Sociale ce qui leur permet d’être assurés au niveau des soins de santé dans les deux pays.

 

Pour cela on leur attribue un formulaire E 101 annuellement :

 

         côté belge pour une durée de travail de 8 ans,

         côté français pour une durée de travail de 5 ans.

 

Pour les salariés de notre région, ils ne peuvent travailler en Belgique que 5 ans. Après cette période, pendant 1 an, le salarié ne peut plus travailler en Belgique (néanmoins, il peut travailler dans un autre pays de l’Europe) au-delà de cette période il peut de nouveau travailler en Belgique pour une période de 5 ans.

 

De ce fait, les employeurs français pour contourner l’obstacle de l’attribution du E 101, installent des filiales en Belgique qui sont souvent des boîtes aux lettres faisant au passage de gros bénéfices au niveau fiscal et cotisations sociales car la législation est plus intéressante pour eux en Belgique.

 

POUR LES SALARIES, S’ENGAGENT ALORS DES REPERCUSSIONS GRAVES EN TERME DES SALARIES ET DE DROITS.

 

Les salariés sont rattachés à la législation belge, avec une fiscalité 3 fois supérieure à la notre et ceux qui refusent sont licenciés pour raison économique. Au niveau salarial, ils voient toutes primes et avantages remis en cause.

 

Nous avons aussi des doutes sur la véracité de certains documents E 101 en possession des salariés de ces entreprises.

 

L’Union Locale CGT et ses syndiqués impliqués dans ce combat interpellent les différents intervenants de ce dossier : c’est pourquoi au regard des faits indignes, nous interpellons les directions des organismes sociaux impliqués dans cette démarche et les pouvoirs publics pour intervenir à ce niveau sur les possibilités d’alignement de l’ensemble de ces salariés au contexte européen et de voir siéger à la table ronde que nous avons demandé au Sous-préfet, les organismes sociaux, la DDTE et les employeurs de ces entreprises de maintenance.

 

Dans l’attente, veuillez agréer, Messieurs, nos respectueuses salutations.                              

 

 

VALENCIENNES, LE 8 MARS

 

La présidence espagnole de l’Union européenne affiche ouvertement son intention d’accélérer le démantèlement des services publics et leur privatisation ainsi que la libéralisation du système de protection sociale (sécurité sociale, santé, retraite…), la réduction de l’indemnité chômage et des minima sociaux, la refonte du Code du Travail, des Conventions collectives, des statuts publics et leurs spécificités.

 

La situation de l’emploi dans le bassin du Valenciennois est loin d’être satisfaisante : taux de chômage, fermeture d’entreprise, restructurations. Les représentants des états de l’Union européenne doivent travailler à une EUROPE SOCIALE, c’est vital pour le Valenciennois. Les salariés actifs, retraités et privés d’emploi ont besoin de droits leur garantissant une vie décente.

 

C’est pour cela que l’Union Locale CGT de Valenciennes appelle les salariés actifs, retraités et privés d’emploi à des initiatives dans leurs entreprises ou localités et à un RASSEMBLEMENT devant la Sous-préfecture de Valenciennes à 14 h 00 ce 14 mars 2002.

 

 

VALENCIENNES, LE 28 MARS

 

Dans un article du 17 mars 2002 de la VOIX DU NORD le directeur de la CPAM de Valenciennes, M. HUMM, et le médecin chef mettent en garde les assurés sociaux contre les dérives qu’engendrent les arrêts maladie dans le Valenciennois.

 

L’Union Locale CGT de Valenciennes et ses administrateurs ne peuvent rester sans réagir à ces propos.

 

Sur le fond : le directeur réagit en fonction d’une logique comptable que préconisent la CNAM (Caisse Nationale d’Assurance Maladie) et le gouvernement.

Si les lois doivent s’appliquer, elles doivent l’être avec précaution et réflexion. La répression bête et brutale ne peut qu’être néfaste.

La prévention est pour nous la première arme à employer en la matière et nous restons persuadés que la clé du problème se traite là.

Mais là, les moyens sont absents et cette nécessaire prévention est reléguée aux oubliettes !

 

Sur la forme : le directeur de la CPAM et le médecin chef prennent les professionnels de santé pour des irresponsables, car ils doutent de leur étique dans la délivrance des arrêts de travail.

Selon leur article ils feraient preuve de complaisance voir d’obscurantisme professionnel.

C’est avoir peu de foi en cette profession, à l’heure où les médecins généralistes revendiquent justement pour leur pouvoir d’achat.

 

Il serait plus judicieux de se mettre à discuter à la CNAM et au niveau local que de sortir de tels sous-entendus. Bien sûr il ne faut pas que les assurés sociaux servent d’otages ni aux uns, ni aux autres.

 

Pour les assurés sociaux, les deux protagonistes de ce communiqué n’ont sûrement pas une réelle connaissance de la souffrance au travail et de la réalité du vécu quotidien dans les entreprises.

 

Là encore, ils prennent les assurés sociaux en arrêt de travail dans leur majorité pour des délinquants.

 

C’est inacceptable et c’est avoir une vision restrictive de la réalité des problèmes.

 

Le directeur de la CPAM de Valenciennes devrait « balayer devant sa porte », quand on sait les problèmes qui sont les siens au sein de son établissement avec son personnel.

 

L’Union Locale CGT de Valenciennes, et ses administrateurs s’inscrivent résolument contre ces procédés d’un autre temps, dignes de méthodes les plus réactionnaires qui soient et espèrent que tous les syndicats, assurés sociaux, médecins réagiront fortement à de telles provocations.

 

 

VALENCIENNES, LE 5 AVRIL

 

Les actions menées depuis plusieurs mois par les salariés de la maintenance industrielle et en particulier ceux de l’entreprise TNBV ont débouché sur l’exigence qu’ils ont posée d’une table ronde. Celle-ci se tiendra le mercredi 10 avril 2002 à 8 h 30 en Sous-préfecture de Valenciennes.

 

Les participants seront : le Sous-préfet, la CPAM, la DDTE/FP, l’URSSAF, les représentants de l’Union Locale CGT et de l’USTM de Valenciennes et le Délégué Syndical CGT de l’entreprise TNBV.

 

Nous avons réinterpellé la Sous-préfecture pour que le patronat de la maintenance industrielle soit présent à cette table ronde, compte tenu de sa responsabilité dans ce conflit. En effet, sans l’ensemble des ces interlocuteurs cette table ronde n’aurait pas de sens.

 

VALENCIENNES, LE 5 AVRIL

 

Monsieur l’Ambassadeur d’Israël en France – PARIS,

 

Nous manifestons notre profonde indignation contre la répression de l’armée Israélienne vis à vis des militants pacifistes. Nous nous élevons contre la terreur qu’installe le gouvernement Sharon.

Nous protestons et appelons :

- pour un retrait immédiat des troupes israéliennes des territoires occupés,

- pour l’envoi immédiat d’une force internationale de protection du peuple palestinien, sur l’initiative de la France,

- pour la suspension de l’accord d’association entre l’Union Européenne et Israël,

- pour les droits nationaux du peuple palestinien et l’application des résolutions des Nations-Unies,

- pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens, dans les Etats aux frontières sûres et reconnues,

- contre toutes les violences racistes en France, notamment celles qui visent des juifs ou des arabes.

 

 

VALENCIENNES, LE 24 AVRIL

 

DECLARATION de l’Union Locale CGT de VALENCIENNES

 

Le résultat du 1er tour des élections présidentielles est bien le constat de l’incapacité des politiques à répondre à l’urgence sociale, aux besoins sociaux des salariés de notre pays.

 

Aujourd’hui, le choix que nous avons : un candidat libéral soutenu par le patronat contre un candidat d’extrême droite aux idées racistes et xénophobes.

 

Ce raccourci électoral ne peut être le seul des militants CGT du Valenciennois ; faire barrage à JM LE PEN, oui, mais ne pas donner un chèque en blanc à CHIRAC !

 

Si la démocratie est en danger aujourd’hui ce n’est pas à l’action de la CGT et de ses militants qu’on le doit, bien au contraire, ils ont été de toutes les luttes, de tous les combats, depuis ces dernières années et une force de proposition permanente qui a été peu écoutée et peu entendue des politiques.

 

Par contre, le MEDEF voit son programme en première ligne dans les propositions de ces deux candidats.

 

Pourtant, sans occulter le 2ème tour, un nouveau défi important s’engage pour nous tous.

 

Pour l’avenir, le véritable combat pour la démocratie interviendra en juin.

Les législatives seront le moyen de faire véritablement barrage aux idées libérales développées par ces deux candidats.

 

Il est important que ceux, qui se présenteront et qui se réclameront de la gauche sociale et progressiste, s’engagent sur de véritables programmes écrits, répondant aux aspirations, aux revendications des salariés, alliant le progrès social, la démocratie, la justice sociale, les libertés et la paix.

 

Pour cela, il est nécessaire que les salariés et les citoyens de notre pays investissent le terrain revendicatif sur la base de réponses à leur volonté de changement en matière de développement économique et social non soumis à la mondialisation.

 

Plein emploi, nouveau statut du salarié, retraites, sécurité sociale professionnelle, défense des services publics, logement, environnement, éducation, etc sont autant de sujets sur lesquels les candidats à ces législatives devront répondre de façon claire et sans ambiguïté, complété d’un engagement ferme dans la durée.

 

La CGT du Valenciennois appelle les salariés à être vigilants et combatifs sur la réponse à ces questions en créant les conditions d’une véritable prise en compte de leurs besoins.

 

Pour nous, le message que nous voulons faire passer aujourd’hui, est que l’action et l’expression dans la rue seront les principaux éléments du rapport de force et cela de façon permanente, quotidienne, dans la lutte unitaire pour une véritable démocratie.

 

 

Valenciennes, le 20 septembre

 

 

L’Union Locale CGT de Valenciennes organise une semaine d’initiatives pour débattre avec les salariés actifs, retraités, privés d’emploi et les citoyens de la nécessité de défendre et d’améliorer notre système de retraite par répartition, système qui permet une solidarité intergénérationnelle.

 

Il est nécessaire de construire un socle commun, qui permettra de défendre les spécificités, avec :

  1. taux de remplacement à hauteur de 75 % minimum, avec indexation sur les salaires pour son calcul et sa revalorisation (10 meilleures années),
  2. maintien de la retraite à 60 ans,
  3. 37,5 années de cotisations,
  4. validation des droits à partir de l’âge de 18 ans,
  5. reconnaissance des pénibilités au travail par 1 trimestre de bonification par année exposée,
  6. départ de plein droit pour ceux ayant atteint dès à présent leur nombre de trimestre,
  7. suppression des abattements (sur la reversion).

 

Tant sur l’amélioration que sur le financement de la retraite par répartition, nous avons des propositions et nous appelons les salariés actifs, retraités, privés d’emploi et les citoyens à venir nous voir afin d’en débattre avec nous durant la semaine du 23 au 27 septembre 2002, nous serons :

 

Lundi 23 -       matin                6h-9h.              Gare SNCF Valenciennes

9h-11h30        ASSEDIC de Valenciennes

ap. midi            12h-15h           Zone TOYOTA Onnaing

15h-16h30      ANPE Valenciennes.

 

Mardi 24 -      matin                9h-12h             Marché Anzin + alentours

                        ap. midi            13h-16h           Hôpital Valenciennes.

 

Mercredi 25-  matin                9h-12h             Marché Valenciennes

ap. midi            13h                  Zone Lavoisier / Raismes / Auchan.

 

Jeudi 26-        matin                6h45                Marché de Quievrechain

ap. midi            13h-17h           ZI Prouvy Rouvignies

 

Le vendredi 27 septembre 10 h 00 un rassemblement est prévu devant la Sous-préfecture de Valenciennes afin d’y déposer nos propositions.

 

 

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